La visite de l'Astroballe (en français)
Jeudi 5 avril, la classe de 3e6 accompagnée des 3e5 faisant partie de l'EPI sportif, nous sommes allés visiter l'Astroballe.
Nous sommes donc partis du collège en vélo en direction du stade.
Nous avons pédalé pendant près d'une heure et demi le long du canal du Grand Large. (Eliot et Corentin)
Nous sommes donc partis du collège en vélo en direction du stade.
Nous avons pédalé pendant près d'une heure et demi le long du canal du Grand Large. (Eliot et Corentin)
Nous sommes partis du collège à 8h30. Nous avons emprunté le même chemin que nous avions pris pour aller au Groupama Stadium. Nous sommes ensuite passés devant le lycée Charlie Chaplin, puis nous avons longé le lac du Grand Large jusqu’à Villeurbanne. (Lou-Océane)
En arrivant à l'Astroballe, nous avons commencé par déposer les vélos dans un salon VIP, puis un membre de l'Asvel nous a emmené dans une salle de réunion qui sert aussi d'espace de regroupement pour les joueurs avant les matchs, pour manger ou pour discuter et regarder des vidéos des matchs précédents ou de l'équipe du prochain match.Dans cette salle on nous a expliqué comment allait se dérouler la visite. (Thomas)
Lorsque nous sommes arrivés à l’Astroballe, nous avons fait la rencontre d’un ancien coach de l’équipe de l’Asvel devenu directeur du centre de l’information : Nordine Ghrib. Il nous a fait visiter l’Asvel, a répondu à nos questions et nous a parlé de la vie que menaient les joueurs : la durée de leur carrière, les régimes alimentaires, les sacrifices…
Nous avons, par la suite, assisté à un entrainement qui était passionnant à regarder car on voyait que les joueurs vivaient de leur passion et que chacun de leurs mouvements étaient précis et sans hésitation. On a aussi très bien pu voir leur cohésion, leur esprit d’équipe et leur amour commun pour le basket. Nous avons vu Nicolas Lang et Charles Kahudi qui sont tout les deux français et qui font partis de cette équipe soudée. Nous avons aussi pu entrapercevoir TJ Parker, l’entraineur de l’équipe et le frère de Tony Parker. (Lou-Océane)
Nous avons, par la suite, assisté à un entrainement qui était passionnant à regarder car on voyait que les joueurs vivaient de leur passion et que chacun de leurs mouvements étaient précis et sans hésitation. On a aussi très bien pu voir leur cohésion, leur esprit d’équipe et leur amour commun pour le basket. Nous avons vu Nicolas Lang et Charles Kahudi qui sont tout les deux français et qui font partis de cette équipe soudée. Nous avons aussi pu entrapercevoir TJ Parker, l’entraineur de l’équipe et le frère de Tony Parker. (Lou-Océane)
Nordine, un ancien coach, nous a raconté l'histoire du club et a répondu à nos questions tout en regardant l'entrainement de quelques joueurs de l'ASVEL. Nordine nous a expliqué que les joueurs s'entrainent tous les jours, et que si tout se passait bien, la durée d'une carrière en tant que joueur était estimée à 15 ans. (Valentin)
Nous avons découvert la salle de conférence, de réception, nous avons posé nos sacs puis Nordine nous à fait découvrir la salle de basket ou on a put apercevoir un bout d’entrainement par ailleurs, il ne communique qu’en Anglais. L’entraîneur de l’Asvel est le frère de Tony Parker. Ensuite, on est retourné dans la salle de réception, en passant par les couloirs nous avons pu apercevoir certains joueurs. Nordine nous a présenté les prochains projets d’aménagements comme le Parker Stadium ou une association cet ainsi que nous avons fait la connaissance d’un ancien joueur qui nous a parlé de son parcours: Yohan Sangaré. (Lucie et Chloé)
La salle est entièrement décorée au couleurs du club avec des affiches citant les différents trophées gagnés. Dans le couloir nous avons aperçu un maillots de Tony Parker, la description parlait d’un match amical entre l’ASVEL et les San Antonio Spurs, match qui a servi à montrer les liens entre les deux clubs. Le moments qui m’a le plus marqué est l’entraînement des joueurs car je crois que je ne verrais plus jamais cela. Ils faisaient un échauffements bien précis et travaillaient différents exercices en alternant l’attaque et la défense, il n’y avait pas d’autres spectateurs que nous, ce fut un grand privilège de voir s’entraîner des joueurs professionnels cela m’as permit de comprend le rythme d’un basketteur professionnel. (Lucas)
Au départ de l’entraînement il y avait seulement deux joueurs sur le terrain : ils tentaient des « trois points ». Puis au bout d’une dizaine de minutes tout le reste de l’équipe arriva ; je sus maintenant que cela commençait vraiment. Les joueurs débutèrent par des échauffements simples : poignets, bras, têtes, jambes. L’échauffement finit, l’entraîneur fit des équipes : blancs, bleus, gris...L’entraînement monta en intensité tout doucement : d’abord ce fut trois attaquants sans défenseurs , les joueurs faisaient des passes puis marquaient tranquillement. Après cela monta en difficulté : les trois attaquants étaient opposés à un défenseur. Les équipes arrivèrent facilement à marquer sauf l’équipe des bleus qui se fit prendre le ballon par le défenseur. L’engagement dans l’entraînement augmenta encore, c’était désormais trois attaquants contre deux défenseurs. Toutes les équipes marquèrent avec plus ou moins de facilités. Mon estime pour les bleus changea radicalement lorsque le plus grand d’entre eux sauta près du panier ; réceptionna la passe alors qu’il était en l’air et « dunka » une faction de seconde après ! Ce fut le premier « aller hoop » que je vis en direct de ma vie. L’entraînement se poursuit en trois contre trois ; les joueurs accéléraient leur jeu et cela devenait difficile de suivre les actions. (Antoine)
Le moment qui m’a le plus marqué est le discours de Yohann Sangaré. Son sens du sacrifice et son travail acharné pour réaliser ses objectifs sont des exemples pour n’importe quel passionné. Dans son discours Yohann Sangaré a aussi parlé de l’importance des études, il a tout particulièrement insisté sur la nécessité d’avoir un niveau correct en anglais pour réussir à s’intégrer dans une entreprise ou pour réussir des études à l’étranger. Son passé lui apportait de la crédibilité car pour réussir dans le monde du basket, il est parti faire ses études aux Etats-Unis. Quand il parlait, on sentait le vécu et les épreuves qu’il a été obligé d’affronter. Je me suis alors posé la question. Si j’avais été à sa place serais-je parti aux Etats-Unis ? Je ne sais pas si j’en aurais eu le courage. Partir en laissant sa famille, ses amis, ses proches pour sa passion sans avoir de garantie de succès, il faut avoir une force mentale hors du commun.
Au-delà de cela, son discours m’a permis d’en savoir plus sur l’ASVEL et de comprendre à quel point ce club est une véritable institution. Des dizaines de personnes travaillent chaque jour pour optimiser les performances des joueurs et de l’équipe et mettre le club dans la lumière à travers des opérations de communication. Le club dispose d’une mécanique bien huilée et chaque employé contribue au bon fonctionnement du club.
Cependant ce qui m’a le plus marqué c’est quand Yohann Sangaré parlait de Tony Parker. Etant fan de basket américain je suis régulièrement les performances de ce joueur considéré comme le meilleur français de l’histoire. Ecouter une personne qui le connaissait aussi bien était donc une chance inestimable. En l’écoutant parler j’ai compris que Tony Parker n’était pas seulement une star du basket jouant outre-atlantique mais qu’il était aussi un dirigeant soucieux de la réussite de son club et ayant des ambitions exceptionnelles pour l’avenir du basketball français. (Alexandre)
Au-delà de cela, son discours m’a permis d’en savoir plus sur l’ASVEL et de comprendre à quel point ce club est une véritable institution. Des dizaines de personnes travaillent chaque jour pour optimiser les performances des joueurs et de l’équipe et mettre le club dans la lumière à travers des opérations de communication. Le club dispose d’une mécanique bien huilée et chaque employé contribue au bon fonctionnement du club.
Cependant ce qui m’a le plus marqué c’est quand Yohann Sangaré parlait de Tony Parker. Etant fan de basket américain je suis régulièrement les performances de ce joueur considéré comme le meilleur français de l’histoire. Ecouter une personne qui le connaissait aussi bien était donc une chance inestimable. En l’écoutant parler j’ai compris que Tony Parker n’était pas seulement une star du basket jouant outre-atlantique mais qu’il était aussi un dirigeant soucieux de la réussite de son club et ayant des ambitions exceptionnelles pour l’avenir du basketball français. (Alexandre)
On a aussi découvert la salle de musculation des joueurs. Le guide nous a aussi présenté les membres du staff, les joueurs, les dirigeants. Le guide nous a aussi emmené dans la salle pour voir une partir de l'entraînement des joueurs. À la fin de la visite, Yohan Sangaré nous a emmené sur le parquet de l'ASVEL, et puis nous avons fait des shoots. (Romain)
Pour passer d'une salle à une autre, nous avons vu certains trophées exposés dans certains couloirs, ce qui était impressionnant.
Des photos d’équipes y étaient exposées sur les murs de part et d'autre des couloirs.
Nous avons eu la chance de marcher là où plusieurs grands clubs internationaux ont pu jouer. On parle bien évidement du terrain !
Avant de venir sur ce terrain, je ne l'imaginais pas aussi grand et aussi impressionnant.
Des photos d’équipes y étaient exposées sur les murs de part et d'autre des couloirs.
Nous avons eu la chance de marcher là où plusieurs grands clubs internationaux ont pu jouer. On parle bien évidement du terrain !
Avant de venir sur ce terrain, je ne l'imaginais pas aussi grand et aussi impressionnant.
Certains volontaires ont essayé de marquer un panier.Nous avons adoré cette visite car on n'avait jamais vu le terrain sous cet angle là et n'avions jamais vu les joueurs de l'Asvel d'aussi près. ( ils sont vraiment très grands )
Nous remercions toutes les personnes qui ont organisé cette visite. (Eliot et Corentin)
Le meilleur moment de la sortie c’est quand Yohan Sangaret nous a fait rentrer sur le terrain, c’était impréssionnant car la salle est très grande et encore il n’y avait pas de spectateurs, il n’y a pas la même vue quand on regarde un match que quand on se retrouve sur le terrain. Les élèves qui voulaient ont put tirer quelques paniers et pour finir ce bon moment nous avons prit tous ensemble une photo de groupe avec le panier dèriere nous. (Lucie et Chloé)
Pour conclure, je remercie Nordine, Yohan et l’ASVEL de nous avoir accueilli et présenter le club, son projet et son organisation. (Valentin)
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